House of the rising sun - James Marshall Hendrix



Octobre 2011. Il fait gris et froid.
Je n'ai qu'une chanson en tête ce matin, la reprise acide du titre de Tom Clarence Ashley. Cinq minutes trente-sept pour vous faire aimer les jeux, l'alcool et les putes.

House Of The Rising Sun-Jimmy Hendrix

Tahiti Boy and the Palmtree Family



1973. Mick Jagger pleure la belle Angie, Bowie annonce au monde entier la fin de Ziggy Stardust, Queen sort son premier single Keep yourself alive et ACDC voit le jour. Mais tout ça finalement on s’en cogne, car 1973 c’est, en 2008, le titre qui ouvre «Good Children Go to Heaven», le premier album de Tahiti Boy and the Palmtree Family. L’occasion de revenir sur un album que l’on a trop peu posé sur nos platines, et sur une famille qui, en deux trois notes de piano et quelques joyeuses cassures de rythme, vous plonge au cœur des 70's (je vous parle d’un temps...) .



Pour faire court, Tahity Boy and The Palmtree Family c’est un cocktail détonnant, une famille recomposée, une sorte de ligue des musiciens extraordinaires, avec, excusez moi du peu, des membres de Poney Poney, Syd Matters et Tanger. Une famille ou papa Tahiti Boy s’impose en génial chef d’orchestre. Alors, vous vous en rendrez très vite compte, Tahity Boy c’est du Beatles dès l’berceau, du «Band on the Run» dans l' walkman, un petit frenchy barbu qui te refile pour 9,99 € sur un site bien connu de téléchargement légal, un véritable antidote contre la mélancolie. Et si jamais, en écoutant Tahiti Boy, t’as encore le moral dans tes chaussettes trouées, et bah tu mates le clip de "1973" , et tu décolles.

C.T